Recherche de Marx

Marx, volant comme un ange a travers les nuages, prenait un immense plaisir a faire des salto et des figures impossible dans les air. Les sensations était mil fois plus forte que dans n'importe quoi. Traversant comme une fleche un nuage vaporeux, il apercut en y sortant les doux flanc de la citée aérienne d'Utope.Il s'en approcha a vitesse modéré et une fois pret a attérire, le petit filet de vent se transforma lentement en un homme frele, grand et blond qui dans le même elan se mit a marcher en direction des habitations angelique les plus proches.

**Je pensais que cela allé etre plus beau...Les anges me decoivent.**

Il arpentat les sublimes rues a la recherche de quelqu'un a qui s'adresser. Tout le monde était vetus de blanc, d'un blanc resplandissant. Les gens souriaient tous, et semblaient tous se connaitre. Les étrangers se reconnaissaient trés vite. Ils ont dans les yeux quelques choses que les anges n'ont pas, comme si tout les maux de la terre les accablés. ils n'étaient non plus pas habillé de la même maniere que les utopiens.
Au bout d'un moment, Marx arriva pres d'un grand batiment dont il n'apercevait pas la fin, le toit se perdant dans les nuages.Il s'aprocha de l'un des gardes royale, munis d'une grande lance blanche parraissant divine.

"Excusé moi, C'est ou ici?"

L'homme esquissa un immense sourire et repondit:

"C'est le grand palais d'instance, vous n'aurez acces qu'au deux premiers étages en tant qu'étrangers.

"D'accord, merci.

Il passa la gentil garde et entra dans l'immense haull d'entré sans toit. Des centaines de personnes se presser de tout les cotés pour attraper un ascenseur ou un guichet. C'est la que Marx se rendit. Apres une bonne demi-heure de queue, il put enfin s'adresser a la splendide femme du guichet.

"Bonjour, je cherche un brocantier, plutot rustique, qui aurait des liens avec Alum, la cité des myrmidons."

"Ahhh, je n'en connais qu'un, c'est Nector.Vous allez le trouver cers la deuxieme rue a droite de celle-ci, un petit magazin trés jolie avec une rose et un belier comme symbole.

"Je vous remercie grandement madame, les humains vous benissent

La femme souria l'air gener puis annonca un suivant. Marx, lui, sortit de l'immense batiment pour aller dans cette fameuse rue dont la femme lui avait parlait.Elle était bondé, des centaines et des centaines de personnes de toute sortes et de toutes nationalités s'y pressé. Il eut du mal a arrivé j'usqu'au magazin qu'il cherchait mais le trouva tant bien que mal au bout d'un moment, il était vide. C'était le seul magazin de la rue marchande vide. Marx eut un rictus et sut que c'était bien la qu'il trouverait la personne qu'il cherchait.

Il s'approcha serein du magazin de Nector. Il poussa la porte qui fit sonnait la petite cloche accroché plus haut. Il s'avanca dans le magazin, regardant a droite et a gauche tout se que se vielle homme pouvait bien vendre. C'était apperement un Apothicaire de pacotille qui vendait de vieux objet tous plus rouillés les uns que autres.Il alla droit au comptoire et donna un petit coup de paumme dans la sonnette posé devant lui. Le bruit retentit comme une alarme dans toute la piece. Puis, un grand "OUI"se fit entendre de loing."J'ARRIVE". Quelques secondes plus tard c'est bien un vielle homme aigri a la barbe tombante qui apparut derriere un rideau vert. Il marchait a peine tout seul et sa voix trembler comme s'il allait mourir sur le moment.

"Jour m'sieur....C'est pour un renseignement?"

Le vielle homme ne repondit rien. Il n'avait surement jamais vus de personne habillé come l'était Marx.

"Je ne vous derange pas au moins ?"

Il posa ses deux coudes sur le bord du comptoire et avanca sa tete vers l'hommes perdus en signe de provocation, pour l'éffrayer un peut.

"Vous etes pas sourd au moins vieux crouton?"

Nector fit un bref signe de la tete. Ces temps ci, il était un peut ailleur. Son magazin ne marchait plus et son revenus lui faisait de moi en moins a vivre. Il fut surpris par l'attitude ingrate de l'homme qui semblait etre violent.

"Oui, j'entend, pas besoins d'insulte.Que voulez vous cher monsieur?"

Sous le comptoire, Nector mit la main sur la sonnette qui pouvait alerté a tout moment la milice ange en cas de probleme. Cet Homme ne lui inspiré vraiment pas confiance.Il avait l'air agressife et ne voulait surement pas que du bien.

"Je vous écoutes..."

**Si tu veut voler de l'argent mon vieux, c'est pas ici que tu va devenir riche...**

Marx recula devant le temperemant soudain du vielle homme.Il souria puis mit en avant le manche de son sabre pour faire comprendre a Nector qu'il vallait mieux pour lui qu'il soit coopérent.

"Bon, Necto, gentil Nector. Tu va me dire tout se que tu sait sur un gars appellé Yoarashy."

Il s'arreta de parler pour regarder la reaction du vieux qui n'avait pas l'air d'avoir compris.

"Y O A R A S H Y....Tu connais alors dit moi ou il est, qui il est, comment il se bas, et tout et tout.

Il envoya sa cape en arriere pour faire apparaitre un grand sabre blanc avec une immense lame dorée.Il ne la déguéna pas encore.

Nector commenca vraiment a etre éfrayer. Il ne comprenait pas pourquoi cette homme en voulant a Yoarashy, son vielle ami.Il decida, pour sa protection de parler mais pas trop pour aussi assurer celle de son compagnon de guerre d'antan.

"Oui, deja entendus parler. Un gars d'Alum je crois. Pourquoi ?

Il commenca a transpirer quand il vit dans les yeux de l'homme une sorte de noirceur soudaine.

**Il a capter que je me fou de sa gueule.**

"Il est deja passé un jour, un homme moyen, habillé en noir avec un sabre."

**Je te dirais pas qu'il en a deux, tu peut en etre sur.**

Il regurgita sa salive bruyament en attendant la reponse de son agresseur.

Marx rigola a pleine dent. Il sortit tout d'un coup son sabre en s'arrentant brusquement de rire et le posa, le manche sur le comptoire et le fit lentement tourner pour mettre un peut de pression dans la discution.

"Jous pas au plus malin. Je sais que tu le connais trés trés trés trés trés bien. Alors fait pas durée le suspense et balance tou. Sinon, tu verra plus le soleil se couché toi...."

Marx était devenus agressife. il n'avait pas de temps a perdre avec les aveux. Sa mission devait etre faite en une semaine.
Marx commenca a siffler pour se detendre. Cela lui demanger de poufendre le tete du debris centenaire qui se tenait en face de lui.

"J'aaaatend"

Dans une impultion subite, sous la pression des menaces, Nector appuya sur la sonnette. La milica allait arrivait d'ici queqlues minutes. Il decida de meublé pendant se temps.

"Oui, euhhh, euhh, intimement non mais je lui est en effet deja parler.Il...il est gentil. mais vous voulez savoir quoi exactement?"

Il ria jaune, stresser par l'attitude de l'homme.

"Si vous pouviez m'aider un peut en posant des questions plus precise."

**Vite la milice, vite vite vite**

Marx sentait son ennervement monté violement.Il s'ennerva.

"Mais tu te fou de ma gueule. Depeche toi de me dire tout ce que tu sait et je te saigne.

Il lui mit l'épée sous la gorge. Nector ne pouvait plus se defiler.Mqrx commenca aussi a stresser et regrder derriere lui pour verrifier que personne n'avait donner l'alerte en le voyant par la vitrine.

**Avec se monde, la milice mettra du temps a passé de toute facons.**

"Mais grouille putain, tu va vraiment y passé sinon"

Nector avait vraiment tres peur a ce moment. Il savait que la milice arrivait mais n'avait pas le temps.

"Il, il, il est brun.....il a des yeux bleue,..il il.."

Tout, a coup, un siflet se fit entendre dans la rue. Les gens commencait a s'agité dehors.

**La milice....**

"Il il est gentil, habillé en noir, il il vit a Alum comme je l'ai dit"

Nector transpirait de tout ses pors

**Je doit meublé, je doit meublé...**

"Il...."

A ce moment la la milice entra en force. Trois agent braquerent leurs armes sur l'homme qui s'était retourné pour voir se qui se passé. Nector en profita pour se jeter par terre, loing de sa portée. L'homme se retourna et ria a Nector...Il le treta d'imbecile puis disparus d'un coup, comme par magie. La milice resta aussi bouche-bée que ne l'était Nector.Trois minutes apres, Yoarashy était devant lui....Il ne comprenait plus rien....