La dernière lueur des anciens
Chapitre 1 :
Depuis bien longtemps déjà, les hommes utilisent le mana, élément invisible et puissant, enchantant nos rêves et pimentant nos batailles...
Mais de plus en plus, les hommes délaissent le mana et se consacrent à utilisé une ressource venant du plus profond de la terre... La 3eme ère touche à sa fin, et un petit comité de mages a décidé de partir chacun de leurs coté pour perpétuer l'art du mana : la magie.
"Maman, je vais chasser. Je reviens vite !"
Draal, était encore un jeune garçon quand son père était mort écrasé, par un sort de gravité lancé sur une enclume se trouvant au-dessus de lui. Il était vigoureux et malgré sa jeunesse, il était loin d'être irréfléchis. Comme tous les garçons et filles de son village, il apprenait la magie et avait une preference pour la foudre...
"Bien mon fils, mais fait bien attention..."
Elle, avait peur du mana depuis l'accident. Elle n'était plus toute jeune mais elle dégagée une fraîcheur sans pareil, ce qui la faisait devenir la cible des vieux célibataires belliqueux.
"Bien mom' !"
Draal quittait sa maison avec entrain : ce soir il allait passer l'épreuve pour pouvoir devenir un apprentit mage-guerrier. Il passa la porte verte de la foret Miniaria, porte soit disant créée par une fée perdue, voulant laisser son empreinte sur terre avant de s'éteindre. Elle était en lierre et tous les ans, fleurissait, donnant une occasion aux villageois de faire la fête. Mais aujourd'hui la foret etait plus sombre que d'habitude et bien silencieuse... Quelques mages devaient se battre à la lisière mais Draal sentait quelque chose d'inexprimable.
"Je vais vite trouver du gibier et rentrer..."
Tout à coup, un éclair déchira le silence, mais pas un éclair normal. Draal avait beaucoup étudié les sorts foudroyant et il ne connaissait pas celui là.
Suivant son chemin il entendit du bruit sur sa gauche. Il entrât dans les fouret et se trouva nez a nez avec... un grand cerf affolé qui rua puis sauta au-dessus du chasseur, lui assénant un violent coup a l'épaule. Oubliant la douleur qui lui meurtrissait le bras, Draal lança sur la bête une décharge mineure la paralysant et d'un coup de sabre, il l'acheva proprement.
Il était si fier de sa prise qu'il avait oublié les evenements précédent la prise. En revenant, il vit quelque chose d'inhabituel et pour un élever, le choc est de taille : en passant la porte verte, un cratère désolé et encore fumant s'ouvrait devant lui, le plus grand qu'il n'ait jamais vu : il ne distingait meme pas l'autre coté dans la brume... Au fond du cratère, une jeune et belle femme, rayonnante et... nue, se tenait debout, la tete penchée, le regard vide. Elle levât doucement la tête, faisant glisser ses longs cheveux et dit d'une voix claire et mélodieuse:
"Jenova,.... je suis Jenova..."
Chapitre 2 :
Draal avait grandi depuis, il avait trouvé une grotte assez spacieuse pour s’abriter. Elle se plaçait entre deux grand rochers et une grande forêt abondante de gibier et de cours d’eau l’entourait. Cela faisait 3 ans et le jeune homme s’en souvenait encore… Des fois la nuit transportait sa voix au grès du vent, se faufilant entre les feuilles de la forêt pour finir comme un écho dans la caverne sombre :
« Jenova…. »
« Mais pourquoi ?... Cette femme…. »
Il revoyait ses yeux livides et son regard froid et se disait que… cet être n’était pas venue par hasard…. Mais durant ces 3 dernières années il restait sans réponses. Il se refusait a réutiliser la magie et ne vivait que de la chasse. Il n’avait pas vu d’autre « humain » depuis qu’il avait quitter sa mère….
« Celui là….. il est pour moi….. doucement,…..doucement….. »
Draal se penchait lentement au-dessus d’une rivière et, ayant vérifier auparavant si le tronc sur lequel il se tenait était sûr, suivait des yeux un beau poisson aux écailles luisantes.
Le vent balançait ses long cheveux et ils paraissaient suivre le mouvement de l’eau.
« Maintenant ! »
D’un geste sûr et précis, il attrapa l’animal et le mis dans une bource en cuir. Il se relevât en regardant si il n’y en avait pas d’autre puis tendis l’oreille…. Il se baissa maladroitement en trébuchant du tronc, mais avait évité la boule de feu qui alla se consumer plus haut dans la rivière. Mais avant même qui put se rétablir en position d’équilibre, il entendit une incantation dans une langue inconnue et un faisceau de lumière vint traverser le tronc d’arbre. Le souffle le projeta en arrière et Draal ne put apercevoir le long sabre effilé de son ennemi puis tomba dans l’eau, le reflet de l’arme au dessus de lui…
Draal se réveilla sur des galets froids…, très froid. Il ouvrit les yeux et découvrit qu’il n’avait pas descendu la rivière, au contraire, il se trouvait en amont de la forêt… Allongé sur la rive il sentait qu’il connaissait cet endroit mais ne connaissait pas ce cours d’eau. Le froid lui piquait les yeux… Il plongea la main dans l’eau scintillante et la retira aussitôt : elle était glacée…
« Je reconnais cet endroit… c’est… »
Les yeux grand ouvert il se précipita et plongea dans l’eau cristalline, ne se souciant plus du froid, ressortit de l’autre coté, s’engouffrât dans la forêt longeant l’autre rive, courut aussi vite qu’il put, se lacérant les jambes et les bras dans les ronce et… s’arrêta net. Il se trouvait à la porte verte… ou ce qu’il en restait. Le lierre était mort et asséché, certaines branches, complètements gelées cassaient au moindre frôlement. Au delà de la porte devenue fantôme, une épaisse brume bouchait la vue… Malgré cela, Draal avançait. Il sentait le dénivelé se dévoiler sous ses pas… Mais il avait froid…très froid. Un sentiment d’irréel sortait de l’endroit, tel que le jeune homme avait de légers vertiges. Au bout d’une quinzaine de mètres, il trébuchant et roula le long de la pente. Allonger là, il se répétait dans sa tête :
« Il faut que je la voie, que je lui demande….. »
Alors puisant dans son courage, il se releva et tituba jusqu’au milieu du cratère. Draal tombât a genoux, épuisé et désespéré : elle n’était pas là, il avait fait tout ça pour rien…
Ne supportant plus le poids de son corps, il s’affalât sur le coté et tomba dans un profond sommeil froid…
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